Cette année pour la Journée de la Terre, plus de 200 entreprises majeures du numérique lancent une campagne collective : Time for Climate Action !
L’objectif de cette campagne initiée par l’ONG Leaders For Climate Action est d’atteindre plus de 50 millions de personnes et de déclencher un million d’actions percutantes et mesurables en faveur de la planète.
HelloAsso s’engage à double titre, en encourageant et mobilisant ses 150 000 associations utilisatrices et leurs membres à se saisir d’initiatives simples à mettre en place à leur échelle. L’entreprise a également déjà mis en place, à l’issue de son bilan carbone, 10 actions concrètes pour le climat en interne pour réduire ses impacts négatifs sur la planète.
5 actions pour réduire son impact sur la planète
Chacun peut individuellement faire un effort et se saisir d’actions simples pour réduire son impact sur la planète.
En voici 5 à mettre en place pour votre association !
1/ Faire le ménage dans sa boite mail
Le virtuel… c’est du réel. Stocker des données qui ne sont pas utilisées représente un gaspillage d’énergie et des émissions de carbone absolument inutiles. Pour éviter cela, vous pouvez paramétrer votre boîte pour supprimer les mails de plus d’un an, supprimer les pièces jointes, vous désinscrire de newsletters inutiles. Retrouvez des conseils utiles et des challenges sur le site du Cyber World Clean up Day.
2/ Changer de fournisseur d’énergie pour votre local
Il est possible de changer très facilement de fournisseur d’électricité pour une électricité plus verte. Le Site Kelwatt a fait une étude pour recommander les fournisseurs d’énergies renouvelables les plus pertinents. A savoir, les prix sont souvent équivalents aux offres classiques.
Vous pouvez également, d’un simple clic, vous renseigner sur les offres vertes disponibles et accessibles, ainsi que leur tarif, sur le site jechange.fr. Un conseiller se charge de tout pour vous !
3/ Choisir une banque durable
Certaines banques continuent de financer des entreprises ou des projets à fort impact carbone. Il est donc indispensable de contacter sa banque pour connaître ses engagements et la sensibiliser à cette problématique ou… en changer. Les ONG Les Amis de la Terre/Oxfam ont réalisé en 2027 deux guides gratuits pour comprendre les enjeux et pour choisir une banque
4/ Réduire et Trier ses déchets
Eviter d’en produire en premier lieu, par du vrac, du consigné, du réutilisable, de la seconde main. Et trier ses déchets, papier, verre, textile, alimentaire, équipements électroniques. Chaque filière peut ainsi valoriser au mieux la matière plutôt que de l’incinérer et l’impact carbone est donc réduit. Si vous avez un local qui accueille du public, vous pouvez aussi devenir « Point d’Apport Volontaire » pour certains déchets : borne textile, collecte des bouchons plastiques, des piles et cartouches d’encre etc. Autant d’actions concrètes pour sensibiliser vos adhérents et visiteurs.
5/ Choisir un navigateur qui plante des arbres
Pour réduire l’impact carbone de ses recherches, une action simple peut être de bien réfléchir avant de taper une recherche (mots clés ciblés), d’utiliser ses favoris ou encore de taper directement l’url des sites connus. Et pour les recherches inévitables, des moteurs de recherche comme Ecosia reversent une partie de leurs recettes publicitaires à la plantation d’arbre qui viennent donc « compenser » les émission de carbone associées à la navigation sur internet.
Comment ça marche ? Vous effectuez une recherche via Ecosia, les publicités liées aux recherches effectuées sur ce moteur génèrent des revenus, ces mêmes revenus permettent de planter des arbres. Plus de 124 millions d’arbres ont déjà été plantés à travers le monde !
Et si vous souhaitez aller au delà, vous pouvez aussi calculer votre empreinte carbone pour déterminer comment vos actions quotidiennes et celles de votre association ont un impact, et repenser vos pratiques. Des outils de simulation gratuits existent en ligne et pour un diagnostic plus précis, il est possible de se faire accompagner par des structures habilitées et faire financer l’étude par l’ADEME.